Course à la Maison Blanche : Donald se Trompe de pays !

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Nouveau tollé aux Etats-Unis après des propos tenus par Donald Trump. Hier, lors d’un meeting électoral en Caroline du Nord, le candidat républicain a expliqué que seuls les défenseurs du port d’arme étaient à même de stopper Hillary Clinton. Un appel du pied au puissant lobby pro-armes aux Etats-Unis ou un appel à la violence contre la candidate démocrate ? Outre-Atlantique, cette nouvelle polémique fait rage.

 

Selon notre confrère Rfi, lors d’un rassemblement mardi 9 août à Wilmington, Donald Trump s’est présenté comme le seul rempart contre la nomination de juges à la Cour suprême susceptibles de remettre en cause le deuxième amendement de la Constitution. Celui-ci garantit « le droit de garder et de porter des armes ».« Hillary veut abolir le second amendement. Si elle a la possibilité de choisir ses juges, il n’y a rien que vous puissiez faire, les gars. A moins que les gens du second amendement … il y a peut-être quelque chose à faire. Je ne sais pas », a lâché Donald Trump.

Ce n’est pas la première fois que le candidat du parti Républicain à la course pour remplace Obama à la Maison Blanche fait des bourdes. Une sortie qui ne tombe pas du tout à pic pour Donald qui s’est vu  considérer pour 50 personnalités républicaines, comme «  le président le plus dangereux de l’histoire américaine ». Allant de bourde en bourde, l’homme s’est attiré les foudres de son propre camp. Jamais un candidat d’un parti Républicain n’avait autant été détesté par sa propre base électorale.

Aujourd’hui, la question que plus d’un observateur se pose est celle de savoir si Donald Trump qui se trompe d’Amérique et de pays, ne devrait tout de même pas démissionner. Puisque rien ne lui assure d’emporter l’élection devant Hillary Clinton, la candidate du parti Démocrate. Au moins, si le milliardaire républicain jetait l’éponge, l’Amérique se porterait mieux. D’autant plus que des questions ne cessent de poser concernant la santé mentale de Donald Trump. Beaucoup de journaux américains estiment que le candidat Républicain souffre de « sociopathie ».  S’il est élu Président des Etats-Unis, ça ne serait plus lui le fou, mais les électeurs américains. En attendant, Donald Trump mérite d’être soumis à des examens psychiatriques.

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