Depuis le début du mois saint de ramadan les activités du ballet national djoliba sont aux ralentis. Aboubacar Touré, l’administrateur culturel de cet ensemble, demande un soutien des autorités guinéennes.
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En Guinée les artistes souffrent d’un manque de soutien. Ce qui fait que la culture guinéenne risque de mourir à petit feu. A cela s’ajoutent les pesanteurs sociales et culturelles. Par exemple, en ce mois de ramadan, la plupart des activités culturelles sont au ralenti, Aboubacar Touré, administrateur culturel du ballet national Djoliba : »le mois saint de ramadan n’est pas compatible avec nos activités. Par ce que nous sommes des danseurs et chorégraphes et d’autres voient cela autrement. Pour ne pas indisposer la societé dans laquelle nous évoluons, nous avons décidé d’interrompre pour l’instant ».
Ce promoteur culturel accuse les autorités guinéennes d’avoir délaissé le Ballet Djoliba : »le gouvernement guinéen ne met pas des ressources pour accompagner les artistes financièrement. Nous avons pensé qu’après l’installation de la 3éme République les artistes allaient rayonner. Cependant aucun espoir n’est permis. Cela est très grave pour notre pays.. ».
Le ballet national djoliba de guinée et d’autres ensembles nationaux méritent d’être subventionner, sinon, ils risquent de mourir à petit feu.
Abdoul Karim BARRY
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