Depuis l’attaque de l’hôtel Grand Bassam intervenue dimanche 13 mars, la Guinée est sur le qui-vive. Le pays qui a envoyé plusieurs soldats pour combattre contre le djihadistes au Mali est sur la liste noire des terroristes. L’arrestation mardi d’un présumé djihadiste à Conakry en une preuve palpable. Un grand dispositif de sécurité devrait être mis en place pour éviter toute surprise. C’est à ce niveau que les services de sécurité devraient être très vigilants.
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L’information selon laquelle un djihadiste a contacté Guineenews « que 5 hôtels de Conakry vont exploser dans les 72 heures qui viennent y compris à Coyah, Kindia, Labé, Nzérékoré, le Centre de Kipé Prima Center, la télévision nationale et les endroits publics, y compris les plages », doit être prise au sérieux.
Cependant, cela peut également être une simple diversion. Les terroristes pourraient bien avoir d’autres cibles en tête. L’ennemi ne dit pas à son adversaire quand il va l’attaquer. Même toto le sait.
Mais la question que biens de guinéens se posent est de savoir si véritablement la Guinée a les moyens de lutter efficacement contre des djihadistes qui reculent devant rien. Les contrôles aux frontières doivent être renforcés. Il faut également multiplier les contrôles au niveau interne, notamment dans les grands espaces publics, les marchés, stades et autres lieux de loisirs. Rien ne doit être négligé